Dans un changement significatif concernant l’emploi fédéral, l’ancien président Trump a annoncé la réintégration de « l’annexe F » visant à modifier la sécurité de l’emploi pour les travailleurs fédéraux. Comme l’a rapporté Axios le 19 avril, cette initiative pourrait voir environ 50 000 employés fédéraux constituer grossièrement 2% de la main-d’œuvre, reclassifiés comme des employés « à volonté ». Ce changement permet au gouvernement de se séparer des employés étiquetés comme « déloyaux » avec une plus grande facilité, ce qui contraste fortement avec les protections précédemment accordées en vertu de la loi sur la réforme de la fonction publique de Pendleton.
La manœuvre représente un départ de l’abolition précédente de la politique par Biden, Trump exécutant la réintégration via un décret rapide dès son retour à la Maison Blanche. L’urgence est soulignée par un mandat du Bureau américain de la gestion du personnel qui oblige les agences fédérales à soumettre des propositions de restructuration de position d’ici le 20 avril. Les critiques ont exprimé avec véhémence des préoccupations, alléguant que cette action transforme le marché du travail fédéral en une entité « politiquement purgée », compromettant ainsi l’intégrité du système de fonction publique établi.
Source: https://en.coinotag.com/breakingnews/trump-reinstates-schedule-f-policy-impacting-50000-pederal-employees-amid-controversy/
Résumé: L’ancien président Trump a réintégré l’annexe F, permettant de reclassifier 50 000 employés fédéraux comme étant « à volonté », ce qui soulève des inquiétudes quant à la sécurité de l’emploi et l’intégrité du système de fonction publique. Des critiques s’inquiètent des conséquences potentiellement néfastes de cette politique sur le marché du travail fédéral.