- Les revenus de ChainLink (Link) ont triplé en trois ans, avec un solide soutien de l’ancien PDG de Google, Eric Schmidt.
- Positionné comme l’infrastructure Web3, ChainLink alimente l’intégration des actifs réels et l’échange de données de confiance.
ChainLink (Link) montre des signes de devenir l’Amazonie de Web3, grâce à la croissance régulière de ses revenus, de la taille de son équipe et du soutien des meilleurs esprits technologiques. De nombreux participants pensent que le projet est la clé de la nouvelle ère d’Internet.
La croissance de ChainLink reflète la montée de la grande technologie
Entre 2022 et 2025, ChainLink (Link) a vu ses revenus passer d’environ 52 millions de dollars à 147 millions de dollars, triplant presque en seulement trois ans. Son personnel est également passé de 360 personnes à plus de 800. Ce type de croissance est similaire aux débuts d’Amazon et de Google.
Comme révélé dans un publier sur x, ChainLink se développe rapidement avec une concentration et une stratégie claires. L’entreprise rapporte environ 180 000 $ de revenus par employé, comparé à 84 000 $ pour Amazon après 2010, montrant que ChainLink gère une équipe plus efficace.
Un autre point de confiance pour ChainLink est la présence d’Eric Schmidt, ancien PDG de Google, parmi ses conseillers, ce qui renforce ses plans à long terme. Les directives de Schmidt durant l’expansion de Google ont contribué à faire de cette entreprise l’une des plus puissantes au monde.
ChainLink (Link) a également une vaste portée de marché, offrant des services dans les secteurs des finances, de l’intelligence artificielle, de la chaîne d’approvisionnement et de l’Internet des objets (IoT). Les analystes estiment qu’il pourrait atteindre 1 milliard de dollars de revenus récurrents annuels d’ici la fin de la décennie si son rythme se maintient.
Pour souligner la force de ChainLink, CNF a signalé qu’Ostium Labs avait atteint un jalon de 5 milliards de dollars sur Arbitrum, en utilisant ChainLink pour améliorer la vitesse et la sécurité. De plus, ChainLink a collaboré avec Kinexys et Ondo Finance de JPMorgan pour effectuer une transaction de livraison entre chaînes.
ChainLink alimente l’épine dorsale de Web3
ChainLink (Link) ne vise pas à être un simple jeton sur le marché de la cryptographie. Comme mentionné dans notre rapport précédent, il construit l’infrastructure nécessaire pour le bon fonctionnement de Web3. Tout comme Amazon a débuté avec la vente de livres, ChainLink se concentre sur la fourniture de données fiables, peu importe leur source.
Les marchés des capitaux l’ont déjà utilisé pour connecter les actifs réels aux blockchains, et sa portée est mondiale, sans qu’aucun pays ou entreprise ne contrôle son utilisation, ce qui est un atout énorme à l’ère de la décentralisation.
De plus, ChainLink évite les contrôles traditionnels des capital-risqueurs en investissant dans des systèmes fondamentaux sur lesquels d’autres pourront compter. Même si ChainLink est relativement jeune, avec environ sept ans d’existence, les signes indiquent qu’il se dirige vers quelque chose de bien plus grand.
Si les tendances actuelles se poursuivent, ChainLink (Link) pourrait devenir la couche de base de Web3, comme l’a indiqué notre précédent article, où Olympusdao a adopté ChainLink CCIP comme principal pont entre chaînes, en commençant par Solana et en prévoyant une expansion vers plusieurs grands réseaux.
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Résumé : ChainLink (Link) s’affirme comme une infrastructure clé du Web3, avec une croissance impressionnante de ses revenus et le soutien de figures influentes comme Eric Schmidt. L’avenir semble prometteur pour cette plateforme innovante.