La loi sur les agents étrangers d’El Salvador a déclenché un débat féroce, le président Nayib Bukele critiquant fortement la condamnation par l’Union européenne de la législation.
La loi oblige les organisations financées à l’étranger à s’inscrire auprès du gouvernement, suscitant des préoccupations concernant les restrictions potentielles sur les libertés civiles et les activités des ONG.
Selon le Service européen pour l’action extérieure, la loi risque de saper la société civile et contredit les engagements internationaux d’El Salvador.
La loi sur les agents étrangers du Salvador fait face à des critiques de l’UE pour menacer les libertés civiles, tandis que le président Bukele défend la souveraineté nationale au milieu des tensions géopolitiques croissantes.
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L’Union européenne a publiquement exprimé des appréhensions sérieuses concernant la loi sur les agents étrangers nouvellement promulgués d’El Salvador, soulignant son potentiel à réduire les libertés de la société civile. La législation exige que toutes les organisations reçoivent un financement étranger pour s’inscrire auprès du gouvernement et divulguer leurs activités, un déménagement selon l’UE qui pourrait être exploité pour supprimer la dissidence et limiter la capacité opérationnelle des organisations non gouvernementales. L’European External Action Service (EEAS) a publié une déclaration officielle soulignant que cette loi peut violer les obligations internationales des droits de l’homme d’El Salvador et compromettre l’indépendance des acteurs de la société civile.
En réponse à la critique de l’UE, le président Nayib Bukele s’est rendu sur les réseaux sociaux pour livrer une réfutation pointue, caractérisant l’UE comme une entité dépassée et bureaucratique dépourvue de pertinence dans les affaires mondiales. Les commentaires de Bukele soulignent une tendance plus large d’El Salvador affirmant une plus grande souveraineté et se distancier de l’influence occidentale traditionnelle. La position de son administration reflète un pivot stratégique vers des modèles de gouvernance qui priorisent les intérêts nationaux sur les pressions externes, malgré les préoccupations internationales concernant le recul démocratique et la liberté d’expression.
Résumé : La loi sur les agents étrangers d’El Salvador suscite de vives critiques de la part de l’UE, tandis que le président Bukele défend son approche en affirmant la souveraineté nationale. Les implications pour les libertés civiles et les ONG soulèvent des inquiétudes dans un contexte de tension géopolitique croissante.