La United States Securities and Exchange Commission (SEC) a officiellement rejeté son procès contre Binance, tirant près de l’une des affaires réglementaires les plus médiatisées de l’histoire récente de l’industrie cryptographique.
Fin d’un long différend juridique
Le licenciement volontaire, déposé auprès des préjugés jeudi devant le tribunal de district américain du district de Columbia, garantit que le SECONDE ne peut pas rouvrir le cas à l’avenir.
Déposé en juin 2023, le procès, initialement dirigé par le président de la SEC, Gary Gensler, a accusé Binance d’une gamme d’infractions, notamment en fournissant illégalement des services aux clients américains, en gonflant artificiellement les volumes de trading et en mangeant des fonds clients. Centraire des allégations de la SEC a été l’affirmation selon laquelle Binance a facilité le commerce des actifs cryptographiques considérés comme des titres non enregistrés, une position juridique que l’agence avait prise contre d’autres échanges majeurs tels que Coinbase et Kraken.
Dans la plainte initiale, Gensler a fait valoir que Binance “avait tenté d’échapper aux lois américaines sur les valeurs mobilières en annonçant des contrôles factices qu’ils ignoraient les coulisses” pour conserver l’accès à de grands investisseurs américains.
Réaction de l’industrie
La décision de la SEC de laisser tomber le cas survient des mois après la pause pour réévaluer le paysage réglementaire et le travail d’un groupe de travail en crypto dédié.
Un porte-parole de Binance a salué le licenciement comme « un moment historique », notant :
« Nous sommes profondément reconnaissants à [SEC] Le président Paul Atkins et l’administration Trump pour avoir reconnu que l’innovation ne peut pas prospérer en vertu de la réglementation par l’application. »
L’échange, cependant, reste vigilant alors que le contrôle réglementaire du secteur crypto se poursuit, bien que dans un environnement en mutation.
Implications stratégiques
Le licenciement du procès marque plus que la conclusion d’une bataille juridique; il signifie un pivot de politique plus large. L’administration Trump a intensifié les efforts pour se positionner comme soutenant l’innovation des actifs numériques. Au cours des derniers mois, le ministère de la Justice a dissous son équipe d’application de la cryptographie, et la direction de la Commodity Futures Trading Commission (CFTC) devrait changer de mains, avec un capital-risqueur connu pour les crypto-liens qui devrait prendre en charge.
Contexte des défis juridiques de Binance
L’affaire SEC n’était qu’une partie des problèmes juridiques de Binance aux États-Unis. L’échange s’était auparavant réglé avec le ministère de la Justice pour 4,3 milliards de dollars sur les violations de lutte contre le blanchiment d’argent et de sanctions. Il a également convenu d’un règlement de 2,85 milliards de dollars avec la CFTC sur les frais connexes. Le fondateur de Binance, Changpeng Zhao, a plaidé coupable à un chef de violations de blanchiment d’argent et purgé une peine de quatre mois de prison. Bien qu’il ait démissionné en tant que PDG, Zhao conserve une participation majoritaire dans l’entreprise.
Un climat d’évolution de l’application
La décision de la SEC de rejeter son procès en binance fait suite à des mouvements similaires impliquant d’autres acteurs majeurs dans l’espace cryptographique. Des poursuites contre des entreprises telles que Ripple et Coinbase ont également été interrompues ou restructurées. Ce modèle reflète un changement stratégique à Washington, les régulateurs adoptant une position moins conflictuelle vers le secteur sous un nouveau leadership politique.
Avertissement : Cet article est fourni à des fins d’information uniquement. Il n’est pas offert ou destiné à être utilisé comme conseil juridique, fiscal, d’investissement, financier ou autre.
Résumé : Le rejet du procès de la SEC contre Binance marque une évolution importante dans le paysage réglementaire des cryptomonnaies, signalant un tournant vers un environnement moins contraignant pour l’innovation dans le secteur.